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La baisse de l’empreinte carbone dépend surtout de la Chine, de l’Asie, des Etats-Unis, du Brésil et surtout dans le domaine professionnel du transport, de l’agriculture, de l’industrie. Mais tout un chacun peut contribuer à cet enjeu vital.

Pour ma part, j’ai très vite eu une sensibilité environnementale. J’ai peu voyagé par avion, même pour le travail. J’aime le train et donc pas de mérite particulier à prendre le rail, métro inclus. Je fais partie des personnes qui ne prennent pas de plaisir particulier à consommer. Mais ce qui est sûr, c’est que ma sensibilité environnementale est longtemps restée plus romantique que pratique. Comme des millions de personnes, mes efforts écologiques (gestion des déchets, limitation du gaspillage, réflexion dans les achats, énergie dans le logement, alimentation) sont plutôt récents.

Dans ce nouveau défi humain que pose la lutte contre le réchauffement climatique, la monnaie est pour la première fois concurrencée par un autre indicateur économique : l’empreinte carbone en CO².

C’est un événement considérable et c’est une bonne chose : l’argent rend des services incomparables. Mais c’est un outil et non le repère ultime. Consciente d’être au pied du mur, l’Humanité toute entière, y compris ses décideurs économiques et politiques, diversifie ses représentations et se donne un autre cap que le seul cap monétaire.

Mon empreinte carbone dépasse les 6 tonnes. Pour calculer la vôtre, Un outil parmi d’autres